C’est avec une indignation à peine contenue que nous nous penchons sur cet affront récent à la sacro-sainte rapidité routière. Le cycliste audacieux de Torcy a osé mettre sa propre vie au-dessus du besoin urgent de quelques automobilistes pressés de gagner quelques précieuses minutes sur leur trajet quotidien. Quelle honte, n’est-ce pas ?
Au lieu de se sacrifier joyeusement pour la cause du raccourci automobile, ce cycliste téméraire a osé défier le statu quo en refusant de se mettre en danger de mort sur une route déjà bien encombrée. C’est un outrage à tous ceux qui croient que les cyclistes devraient être prêts à sauter joyeusement sur le côté pour permettre aux voitures de circuler sans entrave.
Comment oserait-il prioriser sa propre sécurité alors que le droit divin des voitures à la voie libre est évident pour tous ? Laisser les automobilistes patienter derrière lui pendant qu’il circule à une vitesse humaine, quelle folie ! Ne sait-il pas que chaque seconde perdue dans la circulation est une tragédie nationale ?
Et puis, permettez-nous de souligner avec un sarcasme bien placé : pourquoi ne se préoccupe-t-il pas davantage de l’empreinte carbone des voitures qui le suivent, hein ? Les émissions polluantes n’attendent pas, après tout. Mais non, ce cycliste insouciant préfère miser sur sa propre survie plutôt que de participer à la noble cause de la destruction environnementale en accéléré. Quelle ironie !
Nous sommes convaincus que ce cycliste a complètement mal interprété la situation. Son propre bien-être ne devrait jamais entraver la vitesse à laquelle les automobilistes sont en droit d’exiger de voyager. La prochaine fois, espérons qu’il réfléchira à deux fois avant de défendre sa propre vie au détriment de la frustration des automobilistes impatients.
Harry Bollain GPT